Je te sens près de moi
Quand je ferme les yeux
Alors tu m'aperçois
Et veux me rendre heureux.
Tu te mets à danser
Sur une mélodie
Comme pour me provoquer
Et cela me ravit.
Doucement tu dénoues
De toi ton paréo
En ne cachant pas tout
Et me montrant le haut.
Je m'approche soudain
De ton corps dévoilé
Prenant entre mes mains
Tes deux tétons dressés.
Mes lèvres enfin agissent
Les remplaçant alors
Et ma langue se glisse
De tes lèvres à ton corps.
Tes mains s'activent enfin
S'accrochant à mes bras
Lâchant le tissu fin
Me dévoilant le bas.
Ton si beau coquillage
Ne reste pas fermé
Au si joli massage
Qu'il vient me demander.
Soudain tout devient fou
Et Cupidon s'en mêle
Décochant tout à coup
Une flèche bien belle.
Cela dure longtemps
Mais je ne peux bien-sûr
Écrire ces instants
D'une intense luxure.
Je ressors essoufflé
De ce si beau moment
Où je t'ai tant aimé
En étant ton amant.
© Jean-Paul Unternehr
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